Boutiques Rue Peyras à Toulouse
Les boutiques de la Rue Peyras de Toulouse
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Le shopping à Toulouse dans la Rue Peyras
La Rue Peyras de Toulouse est une rue commerçante animée située en plein cœur de la ville. Cette rue est connue pour son large éventail de boutiques, qui offrent une variété de produits allant de vêtements et d’accessoires à des objets de décoration pour la maison. Les rues piétonnes et les bâtiments historiques en font une destination de choix pour les acheteurs locaux et les touristes.
La Rue Peyras est idéalement située à proximité de plusieurs autres rues commerçantes populaires de Toulouse, ce qui en fait un arrêt pratique pour les clients qui souhaitent explorer différents quartiers de la ville tout en faisant du shopping. Les boutiques situées dans cette rue sont un mélange de chaînes nationales et internationales, ainsi que de boutiques indépendantes et de petits magasins locaux. Les produits proposés sont diversifiés, allant des vêtements pour hommes, femmes et enfants, aux chaussures, aux accessoires et aux bijoux.
Outre les magasins de vêtements, les clients peuvent également trouver des magasins spécialisés dans la décoration intérieure et les objets de collection, ainsi que des boutiques proposant des produits artisanaux et des souvenirs. Les boutiques de la Rue Peyras proposent des produits de qualité à des prix compétitifs, offrant ainsi aux clients une expérience de shopping agréable.
La Rue Peyras est également connue pour son ambiance animée et sa convivialité. Les rues piétonnes sont bordées de bâtiments historiques et de restaurants, créant ainsi une atmosphère chaleureuse et accueillante. Les visiteurs peuvent donc faire du shopping tout en profitant de l’ambiance unique de cette rue.
En somme, la Rue Peyras de Toulouse est un lieu de shopping incontournable pour les clients en quête de boutiques de qualité et d’une ambiance conviviale. Les magasins situés dans cette rue offrent une variété de produits pour tous les goûts et tous les budgets, faisant de cette rue une destination de choix pour les acheteurs locaux et les touristes.
Idée cadeau (822)
Idées cadeaux femme (643)
Beauté et santé (193)
Matériel d'équitation (128)
Vêtements femme (103)
Vêtements Homme (44)
Chaussures femme (319)
Chaussures homme (55)
Baskets femme (115)
Baskets homme (2)
Bijoux femme (270)
Maroquinerie femme (111)
Bombes de peinture aérosol (390)
Electroménager (457)
Cuisine et Arts de la table (195)
Jardinerie (894)
Animalerie (124)
Droguerie (27)
Papeterie (56)
Musique (42)
Décoration (162)
Décoration - Design et Ameublement (442)
La Rue Peyras – Histoire
(en occitan< : carrièra Peiras)
La Rue Peyas est une rue du centre historique de Toulouse, en France.
Dès le Moyen Âge, au début du 13ᵉ siècle” au moins, la rue Peyras est déjà connue sous ce nom. Celui-ci renvoie à une pierre (peira [en occitan), mais la cause en est obscure. Ce nom lui était d’ailleurs commun aux rues qui la prolongent à l’est, les rues Genty-Magre et Antonin-Mercié. Au 17ᵉ siècle, elles prennent ensemble le nom du couvent voisin des Augustins, car elles le bordaient au nord, et furent connues ensemble comme la rue des Augustins ou des Grands Augustins.
À la Révolution française, le 25 avril 1794, lorsque toutes les rues de Toulouse reçurent des appellations révolutionnaires, la longue rue Peyras reçoit le nom de rue du Musée, car le Musée du Midi de la République, créé en 1793, avait été installé dans l’église du couvent des Augustins. Cette appellation n’est cependant conservée qu’à la partie orientale de la rue, tandis que la partie occidentale reprend le vieux nom de Peyras
Familles célèbres de la Rue Pyeras
Au Moyen Âge, la rue Peyras appartient au capitoulat de la Pierre. Elle est une partie d’une des principales voies qui traversent la ville d’est en ouest. Cette voie, qui passe par les rues de la Daurade, Cujas, Temponières, Peyras, Cantegril et Boulbonne, relie les ponts qui traversent la Garonne, pont de la Daurade ou Pont-Vieux, à l’ouest, à la porte Saint-Étienne, qui forme la principale porte à l’est de la ville. À l’ouest, la route se prolonge vers la Gascogne et l’Espagne ; à l’est, la route mène à Castres, et après la Montagne Noire, à Béziers et au Bas-Languedoc. La rue Peyras est donc une des plus fréquentées de la cité par les voyageurs et les marchands, surtout qu’elle bénéficie de la proximité du marché de la Pierre sur la place de la Pierre-Saint-Géraud (actuelle place Esquirol). Sur tout son parcours s’établissent de nombreuses auberges pour retenir les voyageurs au passage. On y trouve l’hôtellerie Saint-Jean (actuel numéro 13) et le Logis des Trois Rois (actuel numéro 18) tenu par un certain Arnaud Guilhem de la Bordière à la fin du 15ᵉ siècle. C’est la famille des Prohenques qui est la plus connue des familles qui tiennent ces auberges ː ils possèdent par exemple l’hôtellerie du Château de Milan (actuel numéro 3 rue Genty-Magre). C’est un certain Pierre Prohenques, fils du capitoul du même nom, qui tient l’hôtellerie Saint-Jean au milieu du 16ᵉ siècle.
Les incendies de la Rue Peyras
Les incendies de février 1408, du 7 mai 1463 et du 20 mars 1523 provoquent d’importantes destructions dans le quartier de la rue Peyras. La rue, très populeuse, conserve cependant une population très mélangée, de marchands, d’hommes de loi, avocats et notaires, ou encore des docteurs et de chirurgiens. Malgré les interdictions répétées des capitouls, on élève encore des maisons en corondages (actuels numéro 1, 3, 6 et 7). Au 17ᵉ siècle, plusieurs familles importantes y font construire leurs hôtels, dont les plus remarquables sont l’hôtel de Joseph Druilhet (actuel numéro 14) et l’hôtel de l’avocat au Parlement Paul de Tiffy (actuel numéro 13).
Au milieu du 19ᵉ siècle, quelques travaux d’élargissement de la rue sont engagés, sur le modèle de ceux qui ont été réalisés pour la rue Temponières, considérablement élargie et aérée. La reconstruction de l’hôtel Sipière (actuels numéro 22 et 24), puis de l’immeuble qui lui fait face (actuel numéro 17), permettent de porter la largeur de la rue à 8 mètres. À l’entrée de la rue, la vieille maison des Prohenques cède la place à un immeuble de style néo-classique (actuel numéro 2). Ces quelques réalisations restent cependant isolées, les efforts de la municipalité se portant plutôt, dans la deuxième moitié du 19ᵉ siècle, plutôt sur le projet de percement plus au sud d’une nouvelle rue Transversale, future rue de Metz, entre 1869 et 1871.